Et si nous accueillions le coronavirus autrement…

Et si nous prenions un peu de hauteur, pour observer sur d’autres plans, ce que le coronavirus pourrait avoir comme rôle à jouer sur notre chère Terre ? Là, où nous, les humains, vivons depuis pas si longtemps que cela à l’échelle de l’humanité, et malheureusement pas vraiment non plus en accord avec Gaïa, et ce, de façon exponentielle, et depuis très peu de temps.

Le souhait de cet article est de nous faire réfléchir sur notre fonctionnement personnel, collectif, au milieu de notre environnement tant sur le plan végétal, animal, humain mais aussi au regard de l’univers.

Commençons par un rappel médical.

Les virus, germes et bactéries existent depuis longtemps sur notre planète, et y jouent même un rôle essence-ciel dans chaque microbiote.

Quelques définitions :

  • Virus :
    Ce sont de petites particules infectieuses, sans métabolisme propre, et ont besoin d’une cellule hôte pour se répliquer.
    Et, des cellules hôtes, il en existe à peu près partout : dans le monde végétal, animal et humain, et même chez certains champignons et micro-organismes.
  • Microbiote :
    C’est un ensemble de micro-organismes, tels que les virus, champignons ou bactéries qui vivent dans un environnement spécifique, et dans un écosystème donné.
    Nous connaissons plusieurs microbiotes, le plus connu étant le microbiote intestinal. Il en existe aussi au niveau cutané, pulmonaire, dans les organes génitaux…
    Dans le monde végétal, celui de la forêt est également bien connu.

Questionnement

Et si l’uni-vers, les galaxies, les planètes, les astres, les étoiles, les trous de verre, les astéroïdes… formaient un microbiote géant ?
Et si la terre avec tout ce qui la compose, c’est-à-dire les différents règnes, minéraux, végétaux, animaux, humains formaient un microbiote ?
Or, dans un microbiote, chaque élément a un rôle déterminant à jouer pour maintenir un équilibre, le virus y compris.

Lexique :

Et si nous jouions un peu avec les mots ?
Et si nous reprenions les différents noms communs, propres, verbes fréquemment utilisés dans cette « crise du coronavirus » en les entendant différemment ?

Allez, c’est parti !

  • Corona.
    Et si cela faisait référence au chakra coronal, le 7ème Chakra ?
    Celui en forme de couronne, celui aux mille pétales, celui qui situé au-dessus de notre tête et ouvert vers le haut, celui qui nous met en connexion avec l’univers, le cosmos, l’au-delà.
    Celui qui correspond aux systèmes de croyances, à la sagesse, à la voie spirituelle, à la connaissance totale avec le Soi.
    -Et si c’était une façon de nous questionner au sujet de notre sagesse, de là où nous en étions avec la voie spirituelle ?
    -Et si c’était une façon de nous encourager à nous rapprocher, de nous reconnecter à l’énergie divine, sacrée ?
  • Virus
    Et si nous entendions virus comme vire-us.
    C’est-à-dire Vire comme virer, et us, comme nos coutumes, nos habitudes, nos mœurs…
    -Et si ce vire-us était là pour nous encourager à nous débarrasser de nos vieilles et/ou mauvaises habitudes, pour en prendre de nouvelles et ce de manière responsable et durable.
  •  Covid
    Et si nous faisions un verbe avec le mot COVID, cela pourrait devenir co-vider, ce qui pourrait signifier vider ensemble.
    -Et si ce co-vide nous encourageait à vider collectivement 
    l’ancien de mode de vie pour en installer un nouveau ?
  • 19
    Et si 19, dix-neuf devenait dys-neuf.
    -Et si dys-neuf, pointait peut-être du doigt toutes les dysfonctions dans nos habitudes de vie ?
  •  Pandémie
    Nom commun qui explique l’ampleur d’une épidémie très étendue géographiquement et qui atteint un grand nombre d’humains.
    -Et si cette pandémie, venait nous interroger sur les méandres de notre société de (sur)consommation actuelle, et des ravages à grande vitesse qu’elle a sur l’ensemble des différents règnes qui cohabitent avec nous sur Terre ?
  • Confinement
    Et si le mot confinement pouvait se découper en confine-ment ?
    Confiner, comme être forcé de rester dans un espace limité…
    Ment, comme nous les mensonges que nous nous faisons quotidiennement.
    -Et si lors du confine-ment nous avions été libre de faire ce que nous voulions dans un endroit confiner, alors qu’auparavant
    nous étions libres d’aller où nous voulions, mais confiner dans nos schémas de vie ?
    Nous pourrions aussi voir dans le mot confinement, les confins, parties d’un territoire, situées à l’extrême limite.
    -Et si par extension, le mot confin nous renvoyait au plus profondément de nous même, dans nos confins intérieurs, les endroits que nous ne voulons pas aller visiter ?
  • Masque
    Masque, comme un moyen de protection pour soi et les autres.
    Masque, comme un objet dont on couvre le visage humain pour transformer son aspect naturel.
    -Et si les masques que nous portions et donc, voyions depuis peu, étaient des symboles de représentations de tous les masques que nous portons dans nos vies respectives, que ce soit à la maison, au travail à l’extérieur, dans nos discours, dans nos familles…et qui nous permettent de nous cacher.
  • Écran
    Écran, comme une paroi, une enveloppe destinée à nous protéger.
    Écran, comme un objet interposé permettant de dissimuler quelque chose.
    Écran, comme é-cran, peut-être aussi comme être à cran.
     -Et si nos écrans d’ordinateur derrière lesquels chacun de nous a pu se retrouver pendant le confinement pouvaient être les symboles à la fois d’une protection, mais aussi d’une mise à distance tout court de l’autre.
    Un peu comme tous les écrans invisibles qui existent entre différentes personnes, communautés, peuples,
    écrans qui ne se voient pas mais peuvent se ressentir.
  • Distanciation sociale
    Cette expression « distanciation sociale » est une mesure servant à l’éloignement, la mise à distance entre les individus à des fins de les protéger.
    -Et si les distanciations sociales actuelles représentaient en fait celles qui sont effectives sur notre planète entre différents pays, peuples, différentes religions, communautés, et que nous laissons exister sans rien faire ?
  • Asymptomatique
    Adjectif signifiant celui ou celle qui n’a pas de symptôme.
    Dans cette crise il est conseillé de se tester afin de détecter les potentielles personnes ne présentant pas de symptômes mais pouvant transmettre le virus à l’autre.
    -Et si ce mot asymptomatique venait pointer du doigt tous nos schémas de fonctionnement pas forcément visibles et qui un jour vont nous faire souffrir, nous, et/ou d’autres personnes ?
  • Mesure d’hygiène
    Les mesures d’hygiène sont un ensemble de principes, de pratiques individuelles ou collectives visant à la conservation de la santé, au fonctionnement normal de l’organisme.
    Mesures d’hygiène comme, les masques, le gel hydro alcoolique, la distanciation principales mesures prises lors de cette crise.
    -Et si en fait ces mesures d’hygiène recommandées pouvaient mettre en lumière toutes celles que nous avons oublié, comme effectivement prendre soin de se laver les mains régulièrement au savon, de manger sainement, d’avoir une activité physique, d’ entretenir son jardin intérieur, aussi bien sur le plan physiologique qu’émotionnel.

Symbolisme de cette « pandémie » du coronavirus, de la covid 19

Et si nous prenions tous ces mots de vocabulaire utilisés depuis quelques mois, que nous les mettions dans un shaker, que nous l’agitions bien fort, et que nous les humains, acceptions de nous regarder dans une glace, pour observer nos conditions de vie, nos modes de fonctionnement, nos technologies, nos modes de pensée, pas seulement sur un plan individuel, mais surtout au service du collectif, ou plutôt des collectifs : minéraux, végétaux, humains, planétaires et universels.

Voilà ce que cela pourrait donner :

Et si ce coronavirus, en touchant à ce que nous avons de plus près-cieux, nos poumons, ceux lesquels le souffle de vie peut exister, était venu pour nous faire prendre conscience de toutes nos errances et nettoyer toutes les incohérences que nous avions mis en place ?

  • Tout d’abord il s’en est pris aux plus faibles. Alors certains diront que c’est la loi de la nature, certes.
    Mais il nous a surtout  montré à quel point nous avions mis de côté le nécessaire et l’indispensable à effectuer en priorité pour que notre système de santé puisse fonctionner au mieux et ce pour le plus grand nombre, afin que plus jamais nous n’ayons à choisir entre sauver une personne ou une autre et ce quelques soient les différents critères.
  • Puis en nous confinant dans nos appartements, maisons, il a mis en lumière différentes dérives :
    1) Il nous a forcé à ne plus travailler, à ralentir notre rythme effréné de vie autour d’un métro boulot dodo que beaucoup avaient.
    2) Il a proposé à chacun de nous recentrer autour de ce qu’il y a de plus important : La relation à Soi et à l’autre.
    3) En nous immobilisant dans nos maisons, il nous a invité à nous occuper de notre principale maison, c’est à dire notre corps.
    4) Il a imposé un certain silence par l’arrêt brutal et bruyant de notre société, pour nous permettre de nous recontacter à notre silence intérieur.
    5) Il nous a aussi permis de voir, d’observer ce que nous avions fait à la nature. En effet les différentes mesures prises ont offert à la nature végétale et animale la possibilité de se ré-expanser et de retrouver les espaces qui furent les leurs avant que nous les empiétions.
  • Peut-être que le coronavirus nous a contraint à voir tous les masques que nous portions dans nos vies afin de nous proposer de les enlever, et de se regarder en face, sans faux semblants un peu comme le miroir de la reine dans Blanche-Neige et les 7 nains.
  • Peut-être que le coronavirus grâce à la distanciation sociale et aux écrans d’ordinateur est venu pour nous interroger et nettoyer nos modes de vie, nos comportements que nous pouvions avoir.
    N’y-avait-il pas déjà une certaine forme symbolique de distanciation sociale entre générations, peuples, religions, pays ?Alors remettons du lien entre nous, comme cela a pu se faire de façon ponctuelle pendant cette crise, et faisons-en sorte que cela ne soit pas éphémère.
  • Et si à travers les mesures d’hygiène proposées pendant cette crise, cela invitait chacun de nous à ne pas attendre d’être malade, en mauvaise forme, en mauvaise santé, de mauvaise humeur ?
    1) Commençons par nous préoccuper du principal carburant, notre alimentation, car la santé commence par ce que nous mettons à l’intérieur de notre corps.
    Complétons notre alimentation en micronutrition pour booster notre immunité.
    2) Gardons ce dernier en forme, par le biais de diverses activités physiques.
    3) Entretenons aussi notre santé émotionnelle qui en a bien besoin et peut être aussi à l’origine de nombreux dysfonctionnements à travers les différents stress.
    4) N’attendons pas que la maladie soit là, mais prenons les devants en consultant régulièrement différents thérapeutes afin de garder notre écosystème en équilibre.

En conclusion

Revenons à l’essentiel, reconnectons-nous à nous, aux autres, à notre environnement, aussi bien minéral, végétal, animal que planétaire et ce de façon pérenne, pour ne pas qu’un jour, il y ait un nouveau rappel à l’ordre encore plus destructeur.

Et souvenons-nous que l’humanité s’est toujours relevée et a appris de chaque évènement.
À nous d’en tirer les enseignements!

Et comme disait Einstein :

« On ne peut pas résoudre un problème avec le même mode de pensée que celui qui a généré le problème. »

Alors au changement…

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