De rencontres en découvertes

« Il n’y a pas de hasard, il n’y a que des rendez-vous »       
Paul Eluard

L’attrait des sports collectifs, l’intérêt de la biologie pendant mes études, et l’importance des relations humaines ont orienté mon choix de métier vers la Kinésithérapie.

Grâce à ma curiosité pour mieux accompagner les patients et aux retours de certains, consultant des ostéopathes, l’envie d’étudier cette approche est devenue une évidence.

Première rencontre

Lors d’une formation en kinésithérapie, en discutant avec un des formateurs, ostéopathe, celui-ci me dit une phrase, dont à l’époque je n’avais pas pris la pleine mesure :
« Réfléchis bien à ta décision, car ce n’est pas un métier que tu vas découvrir mais un changement de vie… »

Mon choix d’école s’est porté sur une école d’ostéopathie à taille humaine (IPEO Pantin).

Deuxième rencontre

Le Dr Patrice Stern (kinésithérapeute, étiopathe, médecin), directeur de notre formation, par son esprit d’ouverture nous a donné la chance de découvrir tous les champs potentiels de l’ostéopathie. Dans cet objectif il s’est entouré de professeurs ayant différentes sensibilités :

  • certains étaient tournés vers les techniques structurelles,
  • d’autres vers l’approche tissulaire
  • d’autres encore vers ce fameux axe crânio-sacré
  • enfin certains évoquant l’existence d’un lien entre un symptôme et la sphère émotionnelle

J’ai pu ainsi pratiquer une ostéopathie tournée vers le tissulaire, l’axe crânio-sacré et le système émotionnel.
A peine diplômé, sur les conseils d’une formatrice ostéopathe, je décide d’approfondir l’approche du périnée auprès d’une sage-femme.

Troisième rencontre

Christine Michel Schweitzer m’a initié à l’importance des mémoires transgénérationnelles et des traces qu’elles peuvent laisser dans notre corps.
Elle m’a également appris à écouter chaque consultant, autrement, plus attentivement, notamment grâce à la magie (« l’âme qui agit ») du langage des oiseaux qui permet d’entendre les messages cachés…
Ce stage a été l’occasion d’échanges avec d’autres professionnels, notamment sur la difficulté des séances avec les nourrissons : Quels sont leurs modes de communication « puisqu’ils ne parlent pas » ?

Quatrième rencontre

Dany Heintz-Blondy et Eric Simon par leur vision très différente de l’enseignement pédiatrique classique, ont à leur tour, participé à une nouvelle éclosion…

  • j’ai pu affiner ma lecture des manifestations non conscientisées du corps, faisant émerger un peu plus cette notion de mémoire cellulaire
  • j’ai mesuré l’importance d’intégrer l’histoire de l’enfant, de sa conception jusqu’au jour de la consultation tant sur l’aspect physique, chimique, qu’émotionnel
  • l’implication des mémoires transgénérationnelles dans les problématiques décrites par les parents ont considérablement fait évoluer mes séances avec les petits, et les plus grands aussi
  • enfin la découverte des liens et des champs énergétiques est venue enrichir mon mode de communication et mes techniques de soin développant une écoute et un profond respect au vu de la fragilité et de la sensibilité des bébés

Cette formation pédiatrique va au-delà d’un simple « apprentis-sage », elle sollicite à travers les exercices proposés une réflexion sur soi, faisant remonter des évènements personnels.
Le soignant (« Soi-Niant » dans le langage des oiseaux) que j’étais, prenait encore plus conscience de la nécessité absolue de s’occuper de lui pour mieux aider ensuite les autres.

Cinquième rencontre

J’ai alors suivi la formation d’Angela Hoffmann sur l’origine, le symbole et le sens des maladies.
Tout a pris du sens : conception, grossesse, naissance, traumatismes physiques et émotionnels vécus, histoire parentale, transgénérationnel, peuvent expliquer l’origine de certains symptômes, et donc offrir de nouvelles solutions.
Les neurosciences, la neurobiologie et la physique quantique viennent éclairer aujourd’hui beaucoup de phénomènes restés inexpliqués jusqu’alors, je poursuivais mon apprentissage auprès d’elle :

Angela Hoffmann a pris la suite du Dr Jean Lerminiaux, neuropsychiatre belge, qui a conceptualisé une approche originale appelée « thérapie par l’inversion émotionnelle des ressentis ».

Cette formation m’a beaucoup apporté :

Ces acquis mirent en lumière certaines émotions et comportements bien refoulés, et apportèrent un éclairage nouveau dans mon approche relationnelle et dans les soins avec les patients.
Malgré tout, j’ai été confronté à ne pas pouvoir m’expliquer certaines modifications se déroulant en séance.
Un ami ostéopathe me conseilla de rencontrer une thérapeute psychologue, médium et énergéticienne.

Sixième rencontre

Carnita Sabater m’a alors, par son enseignement et sa guidance, fait toucher de plus près à cette multidimensionalité existante. Elle m’a accompagné dans le développement de mes capacités intuitives, médiumniques et aidé à affiner mes ressentis énergétiques.
Au-delà de cet apprentissage, je me suis éveillé pleinement à cette dimension spirituelle et à l’ouverture du cœur indispensable dans l’accompagnement des personnes.
Tout ce chemin amenait beaucoup d’interrogations sur ma pratique notamment en ostéopathie qui était devenue bien différente de ce que j’avais appris.

Septième rencontre

C’est à ce moment que j’ai rencontré Séverine Manent-Milan, ostéopathe, qui propose des stages intitulés : Ostéopathie et réalité quantique et vibratoire.
Tout était réuni et prenait sens : Ostéopathie, émotionnel, biodynamie, énergétique, notion quantique, multidimension, connexion avec la nature, l’univers et surtout au Cœur…
Le tout au service du patient, en respectant son unicité.
Aujourd’hui, enrichi de toutes ces rencontres professionnelles ainsi que des consultations avec les patients, je poursuis mon chemin pour vous accompagner le plus simplement et justement possible dans tout ce que vous Êtes.